1 Maccabées 14
Commentaires bibliques

Livre ou chapitre inexistant

La traduction biblique que vous avez choisi ne comprends pas ce livre et/ou ce chapitre !

Ressources

Commentaires bibliques

Un commentaire biblique enrichit la lecture de la Bible en fournissant des explications historiques, contextuelles et spirituelles. Il clarifie les passages complexes, ouvre de nouvelles perspectives d'interprétation et renforce votre compréhension de la foi. Cet outil est essentiel pour les études bibliques approfondies, aidant les croyants à mieux saisir la Parole de Dieu et à en tirer des leçons significatives pour leur vie.

comparaison de traduction

Une fonction de comparaison de traduction de la Bible est un outil puissant pour les étudiants de la Bible et les chercheurs. Elle permet de comparer différentes versions de la Bible pour comprendre les nuances de traduction, les choix linguistiques et les interprétations. Cette fonction offre une perspective élargie sur les textes bibliques, aidant à saisir la diversité des interprétations possibles. Que vous cherchiez une traduction plus fidèle aux originaux ou souhaitiez explorer les différences pour enrichir votre compréhension, cette fonction vous offre une meilleure perspective sur les Écritures sacrées.

Pour commencer à utliser ces outils il vous suffit de cliquer sur les catégories ci-dessus.

Ruth 3.1

Chapitres 3 et 4 — Mariage de Ruth avec Boaz, généalogie de David

Une position… Noomi sent que c’est à elle à pourvoir à l’avenir de celle qui s’est dévouée pour elle. Et pour cela elle fait usage d’une coutume établie en Israël. La loi voulait que, lorsqu’un Israélite avait vendu sa propriété (non toutefois le fonds, qui restait inaliénable, mais toute la série des récoltes qui devaient se succéder jusqu’à la prochaine année du jubilé), lui-même ou, à son défaut, l’un de ses proches parents eût en tout temps le droit de la racheter (Lévitique 25.25-27). Il est probable qu’Élimélec et Noomi avaient vendu leur propriété en partant, pour le pays de Moab. Revenue en Israël, il est naturel que Noomi cherche un proche parent qui la mette à même d’en jouir de nouveau. Mais à ce désir s’en joint un autre, celui de procurer un mari à sa belle-fille. C’est ce que la loi lui offrait aussi la possibilité et même le devoir de faire. La loi voulait qu’une veuve restée sans enfants devînt la femme du frère de son mari défunt, afin que le premiier enfant mâle naissant de cette union perpétuât la famille de celui-ci, qui sans cela se serait éteinte (Deutéronome 25.5-6). L’usage paraît avoir étendu cette prescription aux parents du défunt en général et l’avoir mise en rapport avec la loi relative aux propriétés de famille. C’est là ce qui suggère à Noomi le moyen qu’elle propose à Ruth. Nous ne savons quel était le degré de parenté qui unissait Machlon, mari de celle-ci, à Boaz. Elle ne pouvait guère ignorer qu’il existât un parent plus rapproché ; mais la bienveillance que Boaz avait témoignée à Ruth lui faisait penser que c’était lui, plutôt que l’autre, que la Providence avait choisi pour son goël ; c’est le nom hébreu donné à celui qui avait le droit de mariage ou de rachat.